Des textes qui en disent long
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Des textes qui en disent long

Forum dédié à l'échange de textes et pensés à réflexion
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

 

 nouveau :P (La lutte insolite)

Aller en bas 
AuteurMessage
¤marie¤
discret
¤marie¤


Féminin Nombre de messages : 13
Age : 33
Localisation : gatineau
Date d'inscription : 09/11/2009

nouveau :P (La lutte insolite) Empty
MessageSujet: nouveau :P (La lutte insolite)   nouveau :P (La lutte insolite) EmptyMar 1 Déc - 21:47

Être nouvelle dans une école n’est pas simple. Mais Élise se savait suffisamment gentille et avenante pour ne pas s’inquiéter. Bien que tous la dévisagent, elle ne se sentait pas le moins du monde intimidé. La jeune femme arpentait les couloirs de sa nouvelle école en souriant, joyeuse d’être à l’école et heureuse de commencer une nouvelle vie. Arriver en classe, Élise s’assit au centre. Les élèves commencèrent à arrivés et une frêle jeune fille passa la porte. Elle n’avait pas l’air très à son aise dans cette classe remplit de gens. Elle s’avança timidement vers la chaise au côté d’Élise. Elle s’appelait Stéphanie. Elle était nouvelle et s’embla naïve au point de se laisser manipuler par les autres sans le savoir. Elles pourraient peut-être être amies, mais elle manquait trop de feu sacré, selon Élise. À la pause du matin, un groupe composé de deux garçons et d'une fille s’approcha des deux jeunes femmes. Stéphanie se cachait dans son coin.

-Tu es nouvelle ici ?

La jeune femme parlait d’un ton agressif, avait les manières d’un garçon manqué, sans aucun statu social. Ses manières frustre et agressive faisaient fuir tout le monde. À ses côtés, il y avait deux garçons. L’un était très ordinaire. Sans aucun statu social particulier et on le devinait simple d’esprit grâce à son visage où se reflétait la stupidité, et aussi à la bave qui coulait au coin de sa bouche. L’autre était un peu plus distant sur la droite, comme s’il ne voulait pas être complètement en leur compagnie. Il avait le teint et les cheveux sombres sans être charbon. Il avait un corps racé et une arrogance naturelle qui empreignait ses mouvements. Il était plus difficile à analyser que ses compagnons. Le défit se lisait dans ses yeux, l’arrogance se définissait par sa bouche dont les coins s’élevaient avec un éternel sourire de suffisance et de fierté. Ses yeux bruns, profonds, scrutaient l'âme d’Élise. Il était franc, direct, ses manières pouvaient être brusques à délicate. Il était imprévisible. Aux mouvements contrôler et calculer qui pouvaient passer à impulsif et explosif. Après son examen, Élise se détourna des yeux scrutateurs et les regarda chacun avec un regard impérieux et intense. Elle répondit qu’elle était effectivement nouvelle et qu’elle s’appelait Élise. Elle se retourna pour voir Stéphanie qui se cachait derrière son livre. Stéphanie avait l’air terrorisée comme une petite biche devant une meute de loup. La jeune femme agressive promena son regard autour d’elle. Quand elle vit l’attitude effrayer de la jeune fille, elle eu un sourire charognard.

-Je m’appelle France. Lui c’est André, dit-elle en pointant le garçon simple d’esprit.

-Et moi, je m’appelle Justin.

Élise regarda chacun dans les yeux puis vient le tour de Justin. Son regard charmeur n’était pas pour la trompé. Son sourire plein de suffisance était fait sur mesure pour qu’il lui hérisse les sens et pour qu’il la fascine. Justin souri encore plus lorsqu’il comprit qu’il la fascinait. Elle rougi de colère. Elle releva la tête et se mit à l’encercler en créa des courants d’air froid, les bras de Justin se mirent à avoir la chaire de poule. Il regarda le fond des yeux d’Élise. Il lui dit clairement, dans sa tête, qu’elle ne pourrait pas. Un feu brûlant la submergea lorsqu’il la contacta. Elle le vit, enfant elle le vit arriver, elle le vit et elle se vit par ses yeux, tel que lui la voyait. Les courants d’airs froids continuaient leurs œuvres supposément destructrice, mais elles ne donnaient que des frissons et quelques spasmes de froids. L’esprit d’Élise força un peu plus pour congeler un peu plus l’âme trop charmeuse de cet homme face à elle. Justin arrivait à la repousser, pas complètement, mais suffisamment pour ne pas geler sur place. Élise trouva que puissant était son esprit mais faible était sa barrière. Un grand tourbillon de couleur emporta sa conscience
France coupa cour à ce fantastique contact.

-Mais qu’est-ce que vous faite ?

Sa voix était toujours aussi agressive mais son regard acérer ouvrit une blessure ancienne en Élise. Elle secoua la tête et revient à la charge.

-Et la petite fille qui se cache derrière toi, elle s’appelle comment ?

Stéphanie se cachait complètement derrière Élise. France, décourager, se tourna vers Élise et les autres.

-Tu viens faire un tour avec nous, un tour de l’école pour que tu puisses la connaître mieux.

C’était une offrande de paix qu’Élise accepta. Stéphanie la suivait comme son ombre dans toute l’école. Les nouveaux compagnons traversèrent le hall gigantesque de l’école, ils passèrent au travers de la grande cafeteria, allèrent voir les six gymnases et la salle de musculation. À la fin des classes, les nouveaux amis se donnèrent rendez-vous à la bibliothèque vers six heures. Élise devait marcher prêt d'un kilomètre et demis pour se rendre chez elle. Enfin seule, elle laissa soufflé toute la tension qui l’avait accompagner au courant de la journée. Elle se devait de faire le vide afin de rentré chez elle, d’être reposer et ne pas paraître avoir des soucis. Elle repensait à toutes ces choses qu’elle avait vu, senti, compris et à toutes ses choses qu’elle avait manquer de regarder et de comprendre. Elle marcha jusqu'à sa nouvelle maison. Peinte en blanc et le toit vert, les bûche rondes qui formaient la maison, la rendaient très accueillante et agréable tout en montrant son âge avancer. La chaleur régnait dans le hall.

-Bonjour chérie, comment c’est passer ta première journée
d’école ?

La voix de la mère d’Élise se faisait entendre de la cuisine. Les rayons du soleil pénétraient les immenses fenêtres de la cuisine et venaient glisser sur le jaune citron des murs.

-Oui maman, ma journée c’est très bien passer. Mes nouveaux amis mon invité à passer la soirée avec eux. Je dois partir vers six heure.

-Pas de problème, tant que tu rentres vers neuf heure et demis.

Élise monta l’imposant escalier et monta au troisième étage. La double porte en bois de sa chambre grinça lorsqu’elle l'ouvrit. La jeune femme alla sur sa terrasse pour voir la rivière s’écouler avec les reflets magiques du soleil. Accoudée sur le balcon, Élise revivait chaque instant de sa journée pour apprendre davantage et revoir toutes les scènes de cette journée pour remarquer un sens différent, une autre envergure ou pour remarquer un regard différent. Les rencontres qu’elle avait fait aujourd’hui l’ont beaucoup aidé à oublier tout les évènement passer. Un vent puissant lui caressa le visage en emmenant un message :

Ne t’inquiète pas ma chérie, tout va bien aller.
Nous veillerons sur toi aussi longtemps que tu
le voudras.

La voix était très douce et réconfortante. Un doux sentiment de bien-être s’empara d’elle, si bien qu’elle vit son avenir. Chose qu’elle ne faisait qu’en présence divine. Elle pouvait savoir celle des autres sans grand problème car ils n’étaient que des passagers fugaces de son univers, mais savoir la sienne, savoir ses choix, ses erreurs, sa mort. Tout cela la terrifiait. C’était pourquoi confier son don entre les mains divines qui lui montreraient que ce qu’il faut qu’elle sache sans pour autant la troubler était magnifique.


***



Le premier mois se passa sans que rien ne se passe de vraiment spéciale. Élise était plutôt indépendante mais aimait être en compagnie de ses nouveaux amis. Parler avec France et lui dire son point de vue était pratiquement impossible sans confrontation. Par contre, parler avec Justin et s’exprimer était une vraie joie pour elle. Ils débattaient de tous les sujets possibles. C’était pour eux, un jeu qu’ils appelaient La Joute Oral. Passé une seule journée sans se parler de façons philosophique où la passion embrouillait leurs sens et que leur langage devenait incompréhensible étaient pratiquement impossible à suivre pour quiconque n’assistait pas à tout les messages non-verbales qu’ils se lançaient. Stéphanie se lia plus facilement à André et à France en raison de son caractère. France ambitionnait souvent et elle rendait Stéphanie semblable à un petit chien. Élise devait parfois intervenir pour empêcher qu'elle ambitionne trop. Ils se donnèrent rendez-vous à chaque vendredi et passaient la fin de semaine ensemble. Le 20 octobre était la date de fête à France. Toute la compagnie devait passer la fin de semaine chez elle pour faire la fête. Élise s'en réjouissait. Élise ne savait pas quoi pourrait bien vouloir une fille comme France. Elle décida donc de lui acheter un certificat cadeau du centre commercial. Il y avait de tout, elle pourrait donc se choisir ce qu'elle voudrait dans tout le centre commercial.

Le vendredi soir, France les conduisit jusqu'à sa maison. Plutôt simple et étrange, elle était agréablement et accueillante, comme sa mère. Elle les recevait tous, sans sourciller, dans sa maison. Il y avait une chambre d'ami, et deux autre chambre qui était occupés par les occupants de la maison. La cuisine séparait le salon et la salle d'ordinateur. France les présenta à sa mère.

-Bonsoir Madame Lafleur, Je m'appelle Élise Masson.

-Oh oui. Les Masson. Où habitiez vous avant de venir dans cette petite ville ?

-Nous venions de loin.

Élise souriait en tendant la main. Madame Lafleur lui serra la main. Justin pressentit le flot de questions qui allait survenir et décida de se présenter.

-Je m'appelle Justin et je suis ravi que vous nous accueilliez avec tant de gentillesse.

Il lui prit la main et, tout en envoyant un clin d'œil, il lui baisa la main. Madame Lafleur rougie de plaisir.

-Bon, assez parler les enfants, allez poser vos bagages et sortez de la maison, le souper sera prêt vers neuf heure.

Ils sortirent et marchèrent un peu sans but en se bousculant un peu.

-Où on va au juste ?

André demandait toujours où ils allaient.

-Je ne sais pas. Alors, tait toi si tu n'as rien d'intéressant à dire.

Toujours aussi directe, France prit les devants dans une direction différente afin que tous la suivent. Dans ce cartier, il fallait s'attendre à voir des lapins surgirent au milieu de la route. Partout c'était boisé. Mais il était dangereux de si promener depuis quelque temps. Une rumeur circulait concernant des attaques fréquente à cause d'une chicane de gagne de rue. Celle du cartier était très affable, pas de grosse bataille, ils aimaient seulement punir ceux qui se jouaient d'eux, et il n'y en avait pas beaucoup. Mais, un membre de cette gagne à tué un frère de l'autre gagne. En résumé, les deux gagnes se font la peau dans les rue tranquille de cette ville. Il valait donc mieux ne pas traîner dans leurs pattes. Élise connaissait des gens dans les deux gagne. Elle avait de bonne relation avec ceux-ci, mais préférait ne pas à avoir affaire avec eux. Mais aucune inquiétude pour l'instant. Il faisait jour et ils se savaient en sécurité dans cette petite ville qu'ils connaissaient très bien. Justin et Élise discutaient de la foi, de ce qu'elle entraînait comme conséquences à la fois positive et négative.

-La foi est à la fois donne et mauvaise. disait Justin.

-Moi je crois que la foi est plutôt un signe de maturité lorsque tu sais discerner le vrai du faux et à ne pas devenir extrémiste. disait Élise.

Ils se sourirent. Comme à chaque foi qu'ils n'étaient pas d'accord, ils se souriaient et recommençaient pour essayer de convaincre l'autre de son point de vue. Ils continuèrent à parler sans se rendre compte de leur environnement. Arriver au parc où France les avait conduit, ils s'assirent aux balançoires pour continuer à parler.

-Tu ne crois pas que nous devrions tous croire au moins en nous ?

-Je crois qu'il faut avoir confiance en soit pour ensuite pouvoir accorder notre foi à un dieu, quel qu'il soit. prophétisa Justin.

-Aha ! Tu vois, la foi nous aide à avoir confiance en nous pour ensuite aimer les autres. S’exclama Élise, triomphante.

Justin souri et se pencha vers elle :

-Ne dit à personne que j'ai avoué.

-Avouer quoi ? Demanda Élise intéresser.

-Qu'une fille pouvait avoir raison.

Cette remarque fit rire Élise. Elle poussa son ami qui tomba de la balançoire en jouent le comédien. Il se releva rapidement et se fut la course entre les deux. France qui était assise non loin les regardait étrangement et Stéphanie riait en se tapant dans les mains. Le temps passa et Justin réussi à emprisonner Élise dans ses bras pour qu'elle s'excuse. La mine faussement agacer, elle se retourna pour lui faire face. Du haut de ses 17 ans, il avait une tête de plus qu'elle. Élise, pour sa part ne se sentait pas très grande à côté de lui. Soudain elle vit un garçon et sa bande s'avancer vers eux, un couteau à la main. Il y eu un éclaire de peur, puis une concentration extrême. Elle était tellement tendue que Justin se demanda ce qu'elle avait. Elle traversa ses barrières mentales et lui dit vivement : Il y a des gens pas très gentils juste derrière toi derrière toi, ils ont des couteaux !

Justin fronça les sourcils puis la regarda intensément. Il la serra le plus prêt possible de son corps. Il était lui aussi tendu comme la corde d'un arc, puis, dans un bond puissant et agile, il se retourna et se mit entre Élise et leur agresseur.

-Qu'est-ce que tu veux ? demanda Justin d'un ton aussi mesurer que neutre.

- Moi ? l'agresseur ri avant de continuer. Non, moi tout ce que je veux c'est un peu de bataille dans l'espoir de me rendre de bonne humeur.

Élise s'avança d'un pas et elle était maintenant cote à cote avec Justin qui la regarda avec un froncement de sourcil. France, André et Stéphanie arrivaient de côté sans se soucier des ennuis qu'avaient leurs amis. La jeune femme plissa des yeux et se concentra. Une lumière douce illumina les yeux de l'agresseur.

-Michel ? demanda t-elle.

-Cette douce lumière ne peu venir que d'une personne de ma connaissance.

Il abaissa son couteau et le rangea à sa ceinture. Son manteau de cuir brilla d'un reflet bleuté grâce à la lumière émise par Élise.

Élise souriait à présent. Le regard de Justin allait de l'un à l'autre.
La jeune femme poussa un cri de joie et sauta dans les bras tendus de Michel.

-Je croyais que… Je pensai que tu…
Il bégayait, n’ayant pas l’aire de croire ce qu’il tenait dans ses bras.
Revenir en haut Aller en bas
 
nouveau :P (La lutte insolite)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Des textes qui en disent long :: textes à lire-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser